Instructions aux auteurs et conseils pédagogiques

Instructions aux auteurs

Soumission des manuscrits

Les auteurs s’engagent à soumettre des publications originales non publiées dans une autre revue. Les articles seront soumis à deux lecteurs indépendants.

Tous les textes sont à fournir en français ou en anglais sous format électronique de préférence Word (.doc) et à adresser à [email protected].

Les tableaux, à condition qu’ils soient réalisés sous un format tableau, peuvent être intégrés à l’article. Ils doivent être numérotés et comporter un titre. Les figures de haute résolution (300 dpi) sont à fournir sur un document électronique à part mais doivent être mentionnées dans le texte. Elles sont limitées à 6 par article. Les noms des patients ne doivent pas apparaître. Les formats admis sont : pdf, doc, ppt, jpg, gif.

Composition de l’article

  • Titre (en français et en anglais)
  • Nom des auteurs : Prénom complet et nom
  • Provenance de l’auteur (hôpital, institution, ville, pays etc.)
  • Coordonnées complètes de l’auteur (adresse, téléphone, E-mail)
  • Résumé en français et en anglais n’excédant pas 250 signes, sans références et comprenant 4 chapitres : Introduction, Matériel et méthodes, Résultats, Conclusion.
  • Mots-clés conformes à l’Index Medicus (en français et en anglais) : de 3 à 8.

L’article reprendra les chapitres énoncés dans le résumé. Les figures seront indiquées comme suit : (Fig. 1…) ; les références sont mentionnées par un chiffre entre crochets, par ex. [21].

Références

La rédaction des références bibliographiques doit suivre les recommandations du Comité International de Rédacteurs de Journaux Médicaux, International Committee of Medical Journal Editors.

Les références de l’article doivent être présentées dans l’ordre où elles apparaissent dans le texte. Tous les auteurs doivent être cités jusqu’à 6. S’il y a plus de 6 auteurs, on peut se contenter de citer les 3 premiers suivis d’une virgule puis de et al. Les titres des périodiques seront abrégés suivant les normes de l’Index Medicus.

Voici quelques exemples de références. Merci d’être vigilant quant à la ponctuation. Seules sont admises les références d’articles déjà publiés.

Parkin DM, Clayton D, Black RJ, Masuyer E, Friedl HP, Ivanov E, et al. Childhood leukaemia in Europe after Chernobyl: 5 year follow-up. Br J Cancer 1996;73:1006-12.
Shen HM, Zhang QF. Risk assessment of nickel carcinogenicity and occupational lung cancer. Environ Health Perspect 1994;102 Suppl1:275-82.
Ringsven MK, Bond D. Gerontology and leadership skills for nurses. 2nd ed. Albany (NY): Delmar Publishers; 1996.
Phillips SJ, Whisnant JP. Hypertension and stroke. In: Laragh JH, Brenner BM, editors.
Hypertension : pathophysiology, diagnosis, and management. 2nd ed. New York: Raven Press;1995. p. 465-78.

Abréviations

Elles doivent apparaître entre parenthèses après leur première apparition dans le texte.

Les noms de médicaments sauf s’il s’agit de génériques doivent être suivis du signe ®.

Autorisation de reproduction d’un document déjà publié

En cas de reprise d’illustrations déjà publiées, l’auteur s’engage à fournir une autorisation de reproduction écrite de l’éditeur et à citer la source du document.

Droit de reproduction de l’article

Dès publication de l’article, l’auteur est réputé avoir cédé ses droits à l’éditeur qui traitera seul les demandes de reproduction.

Conseils pédagogiques

Les textes publiés dans la revue Cancéro digest doivent avoir une réelle valeur pédagogique. Pour cela, les auteurs doivent garder deux notions à l’esprit lors de la rédaction :

  1. être accessibles et attractifs au plus grand nombre. Pour cela, ils doivent être, autant que possible, concis, aérés, et assortis de schémas et/ou de figures, à buts notamment pratiques. Par exemple, l’analyse détaillée d’études argumentant les propos peut être avantageusement remplacée par une synthèse des résultats, notamment sous forme de tableaux. Bien entendu, le parti pris de concision ne dispense pas d’appuyer et d’argumenter les assertions par une bibliographie n’excluant aucun article important et récent, notamment les mises au point parues dans des revues de haut niveau, auxquelles le lecteur « voulant en savoir plus » pourra se reporter ;
  2. s’il est évidemment souhaitable de faire état des nouveautés, innovations, et hypothèses récentes, il convient de différencier clairement dans les textes, d’une part, ce qui est du domaine des connaissances acquises et validées et, d’autre part, ce qui est encore du domaine des hypothèses et de la recherche. Par exemple, un expert rédigeant un texte sur une modalité thérapeutique doit distinguer précisément les indications validées au moment de la publication en précisant, si possible, le niveau de preuve et/ou les textes de recommandation et, si elles sont consensuelles, des indications potentielles en cours d’évaluation dans des essais.